Thursday, December 23, 2010
De la plus belle eau
Tuesday, December 14, 2010
Devinette

The Quote

Des pommes, des poires...

Tuesday, December 7, 2010
Elégance et Intelligence

Cela fait des mois et des mois que l’idée de parler de ces animaux farouches et au caractère bien trempé trottait dans le manège de ma tête et alors quelle meilleure occasion que le Salon qui lui est dédié pour vous faire l’apogée de cet être noble et fidèle qu’est le cheval ?
Une occasion en or et les retrouvailles très urbaines grâce au Salon ont contribué à raviver la flamme : le cheval est une passion chez moi, a été un sport pratiqué et reste indéniablement une source d’inspiration et d’admiration. De par ses lignes harmonieuses, ses aptitudes si multiples et complémentaires à la fois, il fait partie de ses animaux qui semblent animés d’un feu sacré interne qui ne demande qu’à être allumé par l’étincelle de la complicité avec l’homme. Ce fidèle équidé n’a pas manqué de le suivre au pas, son cavalier, contre vents et marées, guerres et promenades pacifiques et au-delà des défis sportifs. Son caractère au sang (parfois pur) chaud ajoute de l’épaisseur au personnage féerique : toujours présent il faut parfois composer avec ses particularités et c’est justement la richesse de ces facettes qui rend cet animal si attachant et unique à mes yeux. Justement, si je voulais en rajouter, je vous parlerais de ses yeux : grande pierres de jais, ouverts sur le monde, bienveillants et attentifs, ils vos scrutent à chaque mouvement, prêts à donner le signal – fuir ou rester ! Grâce au salon, les fjords, cobs, lusitaniens et leur petits et grands frères de tous les horizons m’ont réchauffé le cœur – une caresse, un souffle chaud et régulier issu de naseaux doux au toucher et tout est dit, ou presque : un dernier mot s’impose car si les chevaux de traits ne sont plus utilisés dans les champs, grâce au travail de passionnés ils se défendent à coups de dents et de reconversion touristique – et c’est tant mieux !
Fashion pic of the week

Thick and light snow flakes fall right in front of my window, while my dear Frankie sings Christmas carols of another era, full of warmth and charm in his velvety voice. The softness of his tone is the perfect backdrop to the sheer luxury of the rich fur wrapped around the neck of the model in the fashion pic of the week. The eagle-eye tile-colored photograph send cold vibes down our spine but also makes us long for natural fabrics reassuring to the touch and reminiscent of long walks in the cold, by the grey-hued sea swept by the wintry winds. As an echo to the fur, the high waisted leather belt defines the woman’s frame despite the multi layered gear – chic bohemian at its best, underlined by a messy bun that seems natural but actually ads a sophisticated touch of highlighted hair color. Ready for a walk by the pier ?
Tuesday, November 30, 2010
En selle !

Goede tijden...

Tuesday, November 23, 2010
Sortez les Kleenex !

Les mouchoirs, je ne les avais pas prévus : mes petites poches étaient vides, très vides lorsque je me suis calée dans le confortable fauteuil du cinéma, ce dimanche après-midi-là. Le dimanche pourtant, il faudrait toujours avoir des mouchoirs en papier sur soi : journée cafardeuse par excellence pendant laquelle la grisaille avait également pensé assombrir l’espace de mes pensées… Un mouchoir, ça vous sauve un homme (ok, une femme) dans ces cas-là. Ou ça vous occupe un dimanche, surtout s'il s'agit du film "Les Petits Mouchoirs" de Guillaume Canet. Sauf que là, pour la peine, ce n'est pas les Kleenex les héros du film (quoi que...).
Des mouchoirs, il fallait en avoir tant pour les larmes, en réalité, que pour les bons moments : une petite troupe d’amis qui décident coûte que coûte (et tant pis pour l’ami resté cloué sur un lit d’hôpital, on pensera à lui de temps en temps pour se donner bonne conscience) de partir en vacances avec pour tout bagage un lot de voiles couvrant secrets et cachotteries ; ça garantit des instants d’intimité, des affrontements, des surprises en tout genre, de la crise de nerfs du stressé de service à la grossesse inattendue. On ne s’ennuie pas, mais pendant ce temps le drame du début suit son cours, inexorablement et bien loin des plages et baignades insouciantes de la petite troupe. Les profils ne se ressemblent pas et sont même si disparates que l’on ne comprend pas forcément ce qui a réunis ces amis… Mais sont-ils vraiment des amis…? Il est permis d’en douter tant les caractères différent, les mécanismes en place sont parfois insondables et les petits mensonges et secrets les séparent.
Sunday, November 21, 2010
The Quote

Wednesday, November 17, 2010
Révolution professionnelle


Le total look n'est pas vraiment ma tasse de thé, mais la très efficace marque à l'origine de cet allié de poids vient de m'annoncer à grand renfort d'emails que le portefeuille est disponible à présent... S'il est aussi bien conçu que son grand frère, c'est un bon coup, je vous dis - mais ne dites pas que c'est moi qui vous l'ai dit, ok ?
Thursday, November 4, 2010
White and green
Sunday, October 31, 2010
Hammam

The Quote
Entre l'olivier et la Victoire
Cette magie des lieux, sous le regard bienveillant d'un bouquet de branches d'olivier et de la Victoire trônant au-dessus du lit, opère sans aucune difficulté, avec une justesse de tons qui transporte l'âme vers la méditation, le repos et cet émerveillement tant nécessaire dans la vie.
Friday, October 29, 2010
Going virtual

Thursday, October 28, 2010
Art moderne : une nouvelle définition

Tuesday, October 26, 2010
La vitesse supérieure

Tuesday, October 19, 2010
Sorbet audacieux

Reflets du mois

Sunday, October 17, 2010
Georgie

Tuesday, October 12, 2010
Monday, October 11, 2010
Le fil d'Irène

Une voix envoûtante fait vibrer les ondes sur France Inter pour un Parking de Nuit pris en plein vol. Une voix inattendue et aimantée. L’oreille reste fidèle, le cœur aussi. La voie mystérieuse et fascinante sert une diction précise, une débit velouté, tout en finesse. Irène Frain, j’apprends, est aux commandes, avec classe et fluidité, pour nous parler…de cinéma. Un film en particulier trouve grâce à ses yeux, de ceux dont on entend parler depuis une vie mais qui nous échappent, comme par enchantement…ou malediction. Sur La Route de Madison. Irène détaille la passion qui anime les personnages et qui l’anime elle lorsqu’elle se trouve face à leurs vies. Son attirance est contagieuse et c’est avec aisance que l’envie irresistible de me lover dans une salle obscure face à Clint et Meryl prend le dessus. C’est promis, juré : coûte que coûte je mettrai la main sur ce film. Puisque j’y suis, je passerai d’abord par la librairie du coin pour voir et toucher le livre qui a inspiré la pellicule. Et puisque j’y suis une deuxième fois, allons voir aussi les écrits d’Irène. Si elle vous enveloppe telle une douce couverture en plein hiver avec sa voix, il y a des chances pour que son écriture soit tout aussi chaleureuse, non ?Bien m'en a pris de suivre ce fil tissé par Irène, sa voix, sa diction, sa cadence. Les Naufragés de l'Ile Tromelin, c'est une récit qui vous saisit, en plein vol, lui aussi. Clair, sans fioritures, direct et limpide comme les eaux de Madagascar, il vous entraîne et vous fait couler par le fond dans l'âme humaine, cette inconnue. Un voyage initiatique pour nous comme pour les naufragés qui en sortiront avec une nouvelle identité. Ceux qui s'en sortiront. Un voyage indispensable servi par une écriture tout aussi efficace et incontournable.Au bout du fil, d'autres découvertes m'attendent, j'en suis certaine. La prochaine étape sera celle de Madison, sur grand écran cette fois-ci, dans l'espoir que la délicatesse des sentiments y aura trouvé un champ d'expression à la hauteur.
Tuesday, October 5, 2010
The Snoopy Week
Tuesday, September 28, 2010
Hotel bonanza
When mentioning a stay in a hotel, one may invariably and over-confidently start daydreaming about beautiful suites with a surface proportional to the number of stars, mini bars full to the brim of junk food and drinks you just look at, crisp linen and gold of the takiest kind everywhere you can look. The point of going to a hotel is also (also, I underline) that, right? Getting out of your routine environment and boundaries, finding comfort in something different and beyond reasonable that, as functional as it may be - everyone needs to sleep somewhere - can also be nice and comforting.
Well, think again, my friends. I find that stars may be numerous nowadays, but losing all their shiny coat. The readily promised bonanza looks more like this: the paint is not fresh, the stink of sigarette is strong and the neighbors so loud and vulgar that you have the feeling of having them throwing a stag party in your own gloomy bathroom. Where is the point in asking whoever was in charge of the booking (not me, needless to say) that:
I do not smoke.
I asked for a single room, not for a pow-wow venue.
Despite these little surprises that will add to the charm of a working weekend, as I slipped into the tiny bath tub of this so-called four star hotel (ha ha ha ha, four times), I actually thought - contrary to all expectations - it was just great. Yes, just great for the simple reason that I do get immense and rewarding pleasure from not having to do a certain number of things, finally: no cleaning, no bed to make, no dishwasher to empty or fill, no dusting, no folding, no lightbulbs to change, no hoovering... Basically, the pleasure of getting careless is intact.
I guess while that feeling holds, it does not matter how stars are shining (or if they are up there at all). Simple, hun?
Credit: TheDaydreamer (via iPhone) - A room with a view would have been such an unfortunate choice for this post. Yes, that was the view from my room.
Thursday, September 23, 2010
Le cerisier bleu

On dirait le sud
